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ARCHIVES : Documents Anciens sur les chemins de Fer à Crépy-en-Valois et ses environs & la ligne de PARIS à LAON |
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Beaucoup de pratiquants de modélisme ferroviaire sont auusi des passionnés des chemins de fer réels et souvent s'intéressent naturellement à l'histoire de ceux-ci .
Voici donc quelques documents concernant l'évolution des chemins de fer en particulier la ligne Paris-Crepy en Valois-Villers Cotterêts-Soissons-Laon et les lignes afférentes à Crépy : Crépy-Senlis-Chantilly, Ormoy Villers-Verberie-Rivecourt et Crépy-Ormoy-Mareuil sur Ourcq
En espérant que ces quelques documents souvent originaux, voir rares concernant des lignes souvent peu connues, soient utiles à des modélistes, voir à toutes personnes s'intérêssant à l'histoire du Valois qui doit beaucoup au Chemin de Fer pour être ce qu'il est aujourd'hui .
Les débuts du Chemin de Fer dans le Valois
La première ligne de chemin de fer dans le nord de la France à été celle de Villers-Cotterêts à Port- aux-Perches, réservée d'ailleurs au trafic de marchandises pour relier Villers-Cotterêts au canal de l'Ourq.
Le 2 Décembre 1852 Napoléon III se fait proclamer Empereur des Français; Comme prévu, parmi ces premières décisions, il permet aux grandes compagnies de se constituer par décrêt le 26 Juin 1857, notemment la Compagnie du Nord détenue par Mrs. Rotschild, Hottinger,Blount.
Dès 1855 la Compagnie du Nord étudia le tracé pour une ligne partant de Paris pour desservir Soissons, se détachant à Louvres de la de la ligne déjà existante . Mais d'autres projets existaient : l'un, présenté par la Compagnie de l'Est : s'embranchant à Meaux de la ligne Paris - Strasbourg pour ralier Soissons par la vallée de l'Ourcq ; et un troisième, soumis par la Compagnie Ternaux partant d' une nouvelle gare située près du canal Saint-Martin à Paris , passant à Pantin, Claye-Souilly, Dammartin et Betz .
Les élus locaux se battirent afin d'obtenir le tracé de la future ligne dans leur bourg ; Grace aux démarches, Monsieur Damainville, Conseiller Général de Crépy, le choix de la Compagnie du Nord l'emporta.
Le 26 Juin 1857, la convention pour la concession à la Compagnie du Nord est ratifiée par Napoléon III .
La portion de ligne Paris à Sevran fut mise en service le 4 Juin 1860, mais il fallut attendre le 31 Août 1861 pour qu'un premier train désserve Dammartin, Le Pessis-Belleville, Nanteuil le Haudouin, Ormoy-Villers et Crépy-en-Valois. Soissons sera relié par le rail le 2 Juin 1862 et Laon seulement en 1866 ;
En 1860, une incertitude concernant le futur embranchement des lignes désservant Senlis et Chantilly, ainsi que celle rejoignant la ligne Paris-Saint Quentin , obligea à construire de gares provisoires à Nanteuil et Crépy, ce qui explique la différence d'architecture par rapport aux autres
batiments pour voyageurs de la ligne ;
Décrêt impérial de la ligne Paris-Laon
Feuille d'actions de la Compagnie des Chemins de Fer du Nord :
Carte de la portion de la ligne Paris-Soissons dâtant de 1859
(Noter l'orthographe ancienne de "Crespy")
Notice descriptive de l'emplacement de la station de Crespy-en-Valois de 1859
Bâtiment provisoire de la Gare de Crépy-en-Valois : En 1861, lors de la mise en service de la ligne Paris / Villers - Cotterêts, pour des raisons de différents politiques locaux, la décision de l'implantation et des tracés des lignes vers Compiègne et Mareuil-sur-Ourcq n'était pas définie entre Crépy-en-Valois et Nanteuil-le-Haudoin, un batiment provisoire fut donc construit à Crépy avant celle que l'on connaît aujourd'hui .
Plan en élévation du bâtiment définitif des voyageurs de la station de Crépy-en-Valois établi en 1863
plan du rez-de-chaussée :
Locomotive ayant assuré la traction des premiers train de voyageurs entre Paris et Crépy :
Locomotive type "Crampton" pour service express des voyageurs construite par les établissements " Cail ".:
Locomotive type 220 2991-2201-2212 dite "Outrance" (1871-1931)
utilisées au début de leur carrière pour la remorque des Express elles furent ensuite utilisées pour des trains omnibus . Elles furent affectées aux dépôt de Laon pour service sur Crépy .(version d'origine avec un seul essieu porteur à l'avant :
locomotive type 220 "Outrance" modifiée par adjonction d'un bogie avant pour plus de stabilité en ligne.:
Locomotive 030 série 3201 - 3246 pour service des marchandises:
Locomotive 030 3606-3787 "Mammouth" ( 1860-1930)
machine mixte , ont été à l'effectif du dépot de Crépy en 1862
Horaires des trains de la ligne Paris à Soissons en 1862:
Plan de la disposition des voies de la gare de Crépy en 1902
(a noter les "plaques tournantes" assurant le changement de voies des wagons)
La gare de Crépy, coté cour aux voyageurs dans les années 1900:
L'intérieur de la gare coté quais :
Vue des voies de la gare de Crépy avec un train arrivant de Paris à gauche et un train pour Mareuil sur Ourcq à droite :
les quais de la gare de Crépy-en-Valois au début du siècle dernier
En comparaison, les quais de la gare de Crépy aujourd'hui :
Photo du personnel de la gare de Crépy-en-Valois au début du siècle dernier ( Chef de Gare, Sous-chef de Gare, Facteur enregistrant, télégraphistes, surveillants, préposés aux bagages, visiteurs, lampistes, manoeuvres, commis.)
Vue générale des installations ferroviaires de Crépy vers 1910:
Vue du dépôt de locomotive de Crépy-en-Valois pendant le conflit de 1914-1918
Crépy à dès le début à possédé un important dépôt de locomotives pour assurer les trains omnibus vers Paris, Chantilly et Senlis,Compiègne par Verberie,Mareuil-sur-Ourcq.
Pendant la "Grande Guerre",la gare de Crépy étant devenue "Régulatrice"(gare de transit vers le front près de Villers-Cotterêts) le dépôt de locomotives a vu son importance accrue pour assurer des trains directs de et vers Bordeaux, Marseille, Rennes;
"Gares régulatrices" =
Implantées dans la zone des Armées, les gares régulatrices ( GR ) constituent un élément de toute première importance dans l'organisation des transports militaires par voie ferrée . Leur rôle est d'organiser et de coordonner tous les transports militaires à destination ou en provenance du front .
Dans la zone ferroviaire qui lui est attribuée, une GR a une fonction de réception et de redistribution des expéditions en provenance de l'intérieur du pays et destinées au front ( troupes, chevaux, armes, munitions, matériel, vivres, lettres et colis envoyés aux soldats, retour des trains sanitaires ou des trains de permissionnaires, etc … ) . Les trains y sont recomposés et tracés en fonction des besoins spécifiques à la zone des opérations .
Certaines sources précisent que chaque train assurant le trajet final entre la GR et une des gares de la zone des opérations reçoit une double équipe de conduite et une réserve de combustible, car la durée du trajet peut varier de façon imprévisible.
Pour les trains revenant du front et se dirigeant vers la zone de l’intérieur ( soldats blessés ou malades, permissionnaires, matériel envoyé en réparation importante, courrier des soldats, voir voitures ou wagons vides, … ), les GR jouent le même rôle : les différents convois y sont recomposés de façon rationnelle.
En fait, on peut d’une certaine manière assimiler les GR à des gares militaires de triage et de transbordement .
Toutes les commandes de trains par l’Armée sont centralisées dans les GR, et deux organismes y ont leur siège : la commission régulatrice qui coordonne et planifie/règle tous les transports demandés à la GR dans sa zone d’action, et le commandement d'étapes qui – sauf erreur - gère les arrêts prévus sur les itinéraires de ces transports ( intendance, etc … ) .
L’ implantation des GR a varié pour certaines d’entre elles en fonction des déplacements du front, notamment suite aux offensives allemandes .
Il est indiqué dans diverses sources que les GR se situent généralement à environ 100km des opérations .
Vue générale des installations ferroviaires vers pendant la Grande Guerre : Un train arrivant de Villers Cotterêts et Soissons , la remise à locomotives et le dépôt à droite:
Autre vue du dépôt avec sa remise à locomotives
Locomotive 030 3401-3512 (1883-1936)
Services de trains directs, omnibus, messageries et marchandises
Loco-tender pour service mixte type 032T série 3021 à 3075 dite "Courte queue" :
Locomotive pour trains de marchandises type 040 série 4636-4990 (1880/1939), 20 locos de ce type étaient à l'effectif du dépôt de Crépy en 1917 :
Locomotive 040 dite "180 Unitées" pour train de marchandises : en 1917 le dépôt de Crépy-en-Valois disposait de 20 de ces locomotives et en 1922 de 14 exemplaires pour la remorque des trains de charbon :
La grande période de la gare et du dépôt de Crépy
Dans les années 1920/1930 le dépôt de Crépy avait à son effectif une cinquantaine de locos à son effectif, notamment les 222 TA, dites "Revolver" et fut doté à leur sortie des 230 pour service mixte dite "Chocolat"
Lignes parcourues par les locos affectées au dépôt de Crépy:
locomotive type 230 série 3000 à 3185 future 230 A SNCF
le dépôt de crépy comportait un atelier d'entretien et de petites réparations :
Photos du personnel d'entretien des locos du dépôt de Crépy vers 1927 :
Locos 222 TA dites "Révolver"
Ces locomotives dont le dépôt de Crépy disposait de plusieurs exemplaires étaient utilisées pour les trains de Banlieue pour Paris et les trains voyageur omnibus pour Chantilly, Compiègne et Mareuil-sur-Ourcq :
Locomotive 040 B (ex G 7.2 de l'Etat Prussien)
service de marchandise , à l'effectif du dépot de Crépy dans les années 1920/30:
Modèle de la 040 B sur le réseau du club
(interprétation d'un train omnibus ayant parcouru les lignes autour de Crépy dans les années 1930)
Loco 230 3078-3353 (1897-1961)
Loco pour service mixte ( trains Express Paris-Laon, Omnibus Paris-Crépy, messagerie )
13 machines de ce type étaient en service au dépôt de Crépy en 1936 :
230 A sur le pont tournant du dépôt de Crépy.
140 A : ce type de locomotive spécialisée pour le trafic marchandise a parcouru les lignes Paris - Crépy - Laon et Le Bourget - Verberie
Plan des installations du dépôt de locomotives de Crépy en Valois en 1946:
Plan du dépôt du dépôt de locomotives de Crépy en Valois en 1955 :
Bâtiments de remisage des locos du dépôt de Crépy-en-Valois:
Vue du dépôt en 1964 (avec 230 G )
l'ancienne cabine d'aiguillages de Crépy-en-Valois ( supprimée en Novembre 1963 ) :
Vue générale des installations ferroviaires de Crépy-en-Valois en 1960 :
Train de messagerie au départ de Crépy pour Soissons et Laon
avec une 040 D "au crochet":
Autre 040 D en attente d'un prochain service au dépôt de Crépy-en-Valois.:
Autre 040 D au dépôt de Crépy-en-Valois :
Autre type de locomotive d'origine prussiènne ( prise de guerre du traité de Versailles ) ayant été à l'effectif du dépôt de Crépy en Valois et ayant assuré des services mixtes sur Crépy à Compiègne, Crépy à Montdidier par Verberie et Estrés Saint Denis ou encore Crépy à Chantilly : les 3.1600 devenues 230 C ex P.8. prussiènne .:
La fin de la traction vapeur à Crépy en film :
https://www.youtube.com/watch?v=AeCfHgvkN0w
Une des dernières locomotives ayant assuré un service voyageur entre Crépy et Laon en Mai 1967 ( type 141 R ) :
Train Express Paris/Laon avec une 231 C "Super Pacific"en gare de Crépy en 1958:
230 D au départ de Crépy en tête d'un Omnibus Laon / Paris :
Photo de mauvaise qualité, mais d'un certain intérêt :
231 E "Chapelon" démarrant de Crépy avec l'Express Hirson-Laon-Paris n° 260 en 1962
Train de Banlieue Paris-Mitry-Crépy assuré par une 242 TA ex PLM :
Si l'activité ferroviaire à Crépy a été marquée par le matériel roulant utilisé et par ses infrastructures, il ne faut naturellement pas oublier les hommes de tous les services qui y ont travaillé .
Départ en retraite du mécanicien Marcel Fremont du dépôt de Crépy en Valois en 1955 (en arrière plan une 230 A) :
Autres photos du départ en retraite du mécanicien de route, Mr.Georges Ramard au pied de sa loco (242 TA 119) entouré d'une partie du personnel du dépôt de Crépy :
Mr. Georges Ramard sur "Sa" locomotive : la 242 TA 119 accompagné de son chauffeur :
230 C (ex P avec un train de messagerie venant de compiègne par Verberie s'approche de son terminus Crépy-en-Valois passant au dessus des voie de la ligne Paris-Laon
Le "Saut de Mouton" permettant aux lignes Crépy/Verberie/Rivecourt et Crépy / Senlis / Chantilly de passer au dessus de la ligne Paris/Laon , celui-ci sera détruit en 1962 pour l'électrification de la ligne Paris à Crépy en Valois :
En suivant la ligne Paris - Soissons ( Laon )
Extrait des tableaux graphiques de la marchedes trains de 1938
Extrait du Carnet de Profils et shémas de la région Nord - 1960
La gare de Paris-Nord, départ de la ligne pour Crépy, Soissons, Laon et Hirson vers 1950 :
( à droite de la photo, un train express venant de Laon avec une 231 A
Autre vue de la gare du Nord dans les années 1950 :
230 D arrivant à la gare du Nord à Paris avec un omnibus provenant de Laon au début des années 196
Les voies et quais de la gare du Nord avant l'électrification :
Train omnibus pour Crépy quittant la gare de Paris-Nord à "Pont Marcadet" dans les années 1940 :
La statiion " Pont Marcadet " ( premier arrêt pour les trains omnibus Paris - Mitry - Crépy avant 1963 )
Train Paris - Hirson assuré par une 231 A quittant Paris au niveau de l'ancien dépôt de La Plaine vers 1950 :
La gare de La Plaine Voyageurs :
gare de La Courneuve - Aubervillers vers 1910 :
242 TA ex PLM assurant un train de banlieue pour Mitry à La Courneuve :
Train omnibus automoteur Laon - Paris-Nord en 1962 passe à La Courneuve :
La gare du Bourget - Drancy :
Le batiment administratif du triage du Bourget :
L'entrée du triage du Bourget :
L'atelier du triage du Bourget :
231 E 22 emmenant un Laon - Paris au Bourget :
230 D en tête d'un Omnibus Laon-Paris au Bourget - Drancy :
Batiment voyageurs de la gare de DRANCY :
Gare de Blanc-Mesnil - Drancy
Gare de Blanc-Mesnil - Drancy au début du siècle dernier
La gare d'Aulnay-sous-Bois avec son premier batiment voyageur :
vue de la nouvelle configuration de la gare d'Aulnay-soous-Bois après le quadruplement des voies entre Paris et Aulnay :
Passage d'un train composé de wagon pour le transport de coke en gare d'Aulnay-sous-Bois :
Gare de Sevran :
Gare de Sevran : Train Cambrai - Paris-Nord ( via Verberie ) de passage en gare de Sevran
Arrivée d'un train de banlieue Paris - Nord à Mitry - Claye avec une 232 TA ex PLM en gare de Vert - Galant :
La gare de Villeparisis :
Locomotive future 222 TA " Révolver " en gare de Villeparisis :
Passage de l'Omnibus Paris-Laon à Villeparisis :
Exceptionnelement assuré par une 141 R le train express Paris - Laon n° 287 entre Villeparisis et Mitry-Claye en 1963 :
Le bâtiment voyageur de la gare de Mitry au début du siècle dernier :
Vue générale des installations de remisage et du dépôt de locomotives de Mitry
( Outre les dépôts de Paris-La Chapelle, La Plaine, Crépy et Laon, le dépôt de Mitry assurait le service de Banlieue) :
En gare de Mitry-Claye , locomotive 231 C en tête d'un train omnibus
pour Laon:
Train de banlieue Crépy en Valois - Paris Nord assuré par une 222 TA " Révolver " à la halte de Compans :
autorail "Standard A.D.N." de passage à Compans :
Vers 1946, train Paris - Laon tracté par une 231 A
La gare de Dammartin-Juilly-St.Mard au début du siècle dernier:
Un train Omnibus pour Paris ( loco 222 TA "Révolver") va desservir la gare de Dammartin-Juilly-St.Mard
:
.
Arrivée du train "M.V. 4221 " en gare de Dammartin en 1963 :
Train "M.V.4221" avec une 230 D en gare de Dammartin-Juilly-Salnt-Mard :
Arrivée d'un train pour Paris en gare du Plessis-Belleville:
La cour aux marchandises et les débords de la gare du Plessis-Belleville - Ermenonville :
Ouvriers d'entretien de la voie dits "cantonniers" en gare du Plessis-Belleville :
150 P avec un train de charbon venant des houillères du Nord traversant la gare du Pessis Belleville - Ermenonville :
141 R entre le Plessis-Belleville et Nanteuil le Haudoin avec le train n° 260 en 1963
La gare de Nanteuil-le-Haudoin au début du siècle dernier
CPA avec une 040 série 4600-4990 prêt au départ en gare de Nanteuil-le -Haudoin :
Autre 150 P à Nanteuil-le-Haudouin:
141 R et son train de marchandises à la sortie de Nanteuil-le-Haudoin pendant les travaux pour l'électrification de la ligne:
.
230 D assurant un train Omnibus Laon - Paris entre Nanteuil le Haudouin et Ormoy Villers au lieu-dit " Pont des soupirs" :
141 R remontant vers Le Bourget entre Nanteuil-le-Haudoin et Ormoy-Villers:
Toujourd au même endroit, loco 150 P en tête de son train au même endroit entre Ormoy-Villers et Nanteuil le Haudoin
La gare d'Ormoy-Villers au début du siècle (avec une "Chocolat" en tête d'un train de marchandises et une "Révolver" assurant un omnibus :
C.P.A. de la gare d'Ormoy-Villers avec deux trains de marchndises, l'un à gauche venant de la ligne de Verberie, l'autre à droite venant de Soissons et Crépy
Agents de la gare d'Ormoy-Villers du temps de la Compagnie du Nord :
141 R passant devant le poste d'Ormoy-Villers et se dirigeant vers Verberie :
Peu avant l'électrification, une 141 R avec son train de marchandises venant du Bourget arrive à Ormoy-Villers :
Train venant de Verberie et arrivant à Ormoy-Villers avec une 150 P en tête :
La gare de Vaumoise vers 1910:
La gare de Vaumoise toujours vers 1910, mais coté cour aux voyageurs avec une loco de manoeuvre sur l'embrenchement de la sucrerie de Vauciennes
La même loco en attente à coté de l'hotel de la gare de Vaumoise :
141 R avec un omnibus àVaumoise pour Laon avec voitures type "Y" :
Autre 141 R avec un supplémentaire composée de voitures de Banlieue "Talbot" en gare de Longpont
Train "M.V. N°4221" Paris-Laon démarrant de la gare de Vaumoise avec une 230 D en tête :
Vue ancienne de la gare de Boursonne-Coyolle :
Cette gare située entre Vaumoise et Villers-Cotterêts fut supprimée et démolie à la fin des années 1960:
Express Paris /Laon avec une 231 K (ex PLM) à Villers- Cotterêts :
242 TA (ex PLM) à Villers-Cotterêts : ces locomotives à l'effectif du dépôt de Mitry assuraient normalement les trains de Banlieue Pais-Nord/Aulnay/Mitry/Crépy-en-Valois :
Au début du siècle dernier, passage d'un train omnibus Laon - Soissons - Crépy - Paris à Corcy :
Locomotive " 230 C ex P 8 prussienne " en gare de Corcy :
Vers les années 1950, un train pour Laon marque l'arrêt en gare de Corcy : à noter la présence de remorques d'autorail issues de la démotorisation d'éléments automoteurs
d'origine allemande :
Un train composé de wagons-foudre ( pour le transport du vin ) s'apprête a franchir le tunnel de Vierzy :
Gare de Berzy le Sec :
La gare de Soissons avant sa destruction pendant le conflit de la première guerre mondial
Gare de Soissons :Train Omnibus ( train M.V. 4221 ) en 1964 :
Typique composition de train omnibus Paris à Laon des années 1960 :
Autorail "ADN" type X 23000 en gare de Soissons :
La ligne Ormoy-Villers à Verberie
Artère à double voie mise en service le 1er Août 1882 et electrifiée en 1963 aussi appelée "ligne du charbon" est un itinéraire d'allègement des lignes Paris-Amiens et Paris-frontière Belge affecté au trafic lourd de marchandises (notemment du charbon du bassin minier du Nord / Pas de Calais vers la région parisienne) / Elle avait aussi un racordement direct (de 1,7 km) au départ de Crépy vers Verberie , une liaison Crépy à Compiègne avec 5 aller retour était assuré dans la première moitié du siècle dernier.
le trajet entre Crépy et Compiègne de 35 km durait 1h . Les trains de voyageurs furent supprimés à l'été 1941; Restera en fait jusqu'en Juin 1940 un train marchandises/voyageurs, c'est à dire une voiture voyageurs dans un train essentiellement composé de wagons de marchandises ;
Plan du Raccordement au départ de Crépy de la ligne pour Verberie vers 1950 :
Horaires des trains de la relation Crépy-en-Valois à Compiègne en 1914 :
train venant du Bourget et empreintant la ligne pour Verberie et Rivecourt à la sortie d'Ormoy-Villers en 1963 peu vant la mise en service de l'électrification de la portion Aulnay - Rivecourt de la ligne :
La gare de Duvy :
Après avoir quittée la gare d'Ormoy-Villers et après celle de Duvy, Séry-Magneval était désservie par une halte aux installations sommaires :
Le tunnel de Séry vers 1910 :
Train de wagon tombereau s'appretant à renter dans le tunnel de Séry (coté Duvy):
Personnel d'entretien de la voie devant l'entrée du tunnel de Séry coté Orrouy-Glaignes
141 R venant du Bourget et remontant une rame de wagons tombereau vers le Nord/Pas de Calais passant à Orrouy-Glaignes :
De passage en gare d'Orrouy-Glaignes, une 141 R avec son train de marchandises se dirigeant vers Ormoy-Villers et Le Bourget :
Dans la courbe précédent la gare d'Orrouy-Glaignes une 141 R et son lourd train de marchandises à destination du Bourget. :
Avant la gare de Béthisy-St.Pierre, la halte de Béthisy-St.Martin avec l'arrivée d'un train omnibus venant de Crépy :
Le batiment voyageur de la gare de Béthisy-Saint-Pierre :
Train supplémentaire empreintant la ligne Verberie-Ormoy à Béthisy-Saint-Pierre avec une 231 E "Chapelon":
Toujours à Béthisy-St-Pierre, une 231 K :
Train de desserte avec une 040 D (ex G à Béthisy-St.-Pierre
Train venant du Bourget et remontant dans le Nord passe la gare de Béthisy-Saint-Pierre :
La halte de Saintines - Saint-Sauveur :
La gare de Verberie vers 1910 :
150 P en gare de Verberie s'apprétant à rejoindre Ormoy-Villers et Le Bourget
141 R en gare de Verberie
La ligne Crépy-en Valois à Senlis (Chantilly)
Prévue par le décrêt du 26 Juin 1857 pour relier la ligne Paris à Lille et à la frontière Belge, mais surtout pour desservir la Sous-Préfecture de Senlis, cette ligne prenant naissance à la sortie de Chantilly une première section de ligne de 12 km fut ouverte jusqu'à Senlis le 9 Août 1862 : les stations étaient : Golf de Chantilly, Saint Maximin, Vineuil- Saint Firmin, Courteuil / Aumont et Senlis.
La seconde portion de ligne Senlis Crépy-en-Valois fut seulement mise en service le 1er Septembre 1870 par l'armée prussienne et officiellement le 23 Mars 1871. Cette ligne desservait Mont l'Evêque, Borest, Barbery, Rully, Fresnoy le Luat, le Luat (halte), Auger St. Vincent et enfin Crépy;
Jusqu'à 5 aller-retour existaient quotidiennement entre Crépy et Chantilly dont 1 aller-retour direct Crépy Paris par Chantilly plus 6 aller-retour Senlis -Chantilly complètés par des trains de marchandises.
Le trafic voyageur sera arrêté dès 1938 entre Chantilly et Senlis puis le 15 Mai 1939 pour Crépy-Senlis (entre le 1er Novembre 1946 et l'été 1949 réouverture avec des autorails "Floirat" ) , Le 8 Octobre 1950 la ligne est définitivement privée de trafic pour les voyageurs
Un embranchement particulier existait pour desservir la sucrerie de Beaurain et un autre pour celle de Barbery.
Le dernier train marchandises pour Senlis au départ d'Ormoy-Villers circulera en 1975. ( la portion de ligne venant de Crépy ayant été neutralisée par la suppression du "saut de mouton" à la sortie de Crépy ainsi que le passage supérieur enjambant la ligne de Verberie à Ormoy-Villers lors de l'électrification en 1963)
La ligne sera déclassée en 1980, Senlis étant devenu inaccessible suite à la construction de la ligne TGV Nord
Horaires des trains Crépy-Senlis-Chantilly de 1936 :
Autorail "Floirat" garé dans la gare marchandise de Crépy (ces autorails légers assuraient la desserte voyageur de la ligne Crépy-Senlis vers la fin des années 1940) :
Autorail " Floirat " en ligne entre Crépy et Senlis :
230 A à Auger-Saint-Vincent :
Toujours en gare d'Auger Saint Vincent, le train de desserte quotidien pour Senlis assuré par une 230 G ex P.O. :
La gare de Barbery avant sa destruction par l'armée allemande en 1914:
Plan de la façade côté cour des voyageurs de la gare de Barbery :
230 A avec un train de desserte Crépy-Senlis à Barbery :
autre train de desserte pour Senlis en gare de Barbery, mais cette fois avec la 230 G 338 (ex P.O.) du dépôt de Crépy. :
Train de travaux à Barbery avec la 230 G du dépôt de Crépy :
Le premier bâtiment de la gare de Senlis avant sa destruction par l'armée allemande le 2 Septembre 1914 :
La nouvelle gare de Senlis inaugurée en 1922 concue par l'architecte Gustave Umbdenstock
Autorail " Floirat " en attente de départ pour Crépy en gare de Senlis :
Arrivant de Crépy, le train de desserte avec la 230 A 4 à Senlis :
Document rare : En gare de Senlis embarquement de troupes ( probablement 4éme régiment de Spahis marocains en garnison dans cette ville) en 1940 : la traction du train est assurée par une 230 A du dépôt de Crépy :
les horaires des trains Crépy/Senlis/Chantilly en 1938
230 G maneuvrant son train de desserte pour Crépy en Valois en gare de Senlis :
La ligne Crépy-en-Valois, Ormoy-Villers à Mareuil sur Ourcq
Cette ligne transversale décidée dès 1879 dans le cadre de la loi Freycinet,déclarée d'utilité publique le 23 Février 1881 pour relier les lignes Paris à Charleville par Crépy et Soissons (Compagnie du Nord) et Paris à Charleville par Reims (Compagnie de l'Est) est ouverte le 20 Septembre 1894 ;
Longue de 21,038 km elle est ouverte le 2 Septembre 1894, sa construction coutera 4 727 718 francs-or de l'époque.
Se détachant de la ligne Paris-Soissons à Ormoy-Villers elle dessert Boissy-Lévignen, Macquelines (halte), Betz, Antilly,Thury en Valois (halte de Boullare),et Collinances avant de rejoindre Mareuil sur Ourcq et la ligne Paris - Reims .
Le trafic voyageur sera supprimé en Septembre 1939
D'Octobre 1940 à Mai 1945 la ligne temporairement mise en double voie (avec un raccordement direct vers Paris à Ormoy qui sera déclassé en 1973) sera utilisée pour les besoins militaires
En Juillet 1954, dépose de la voie entre Antilly et Mareuil.
Peu après le départ de la ligne de Mareuil-sur-Ourq de la gare d'Ormoy-Villers , celle-ci traverse la forêt avant de rejoindre la gare de Boissy-Lévignen :
La ligne de Mareuil peu après Ormoy-Villers
La gare de Boissy-Lévignen :
La halte de Macquelines:
La gare de Betz : Parti de Crépy, et après avoir desservi la gare de Boissy-Lévignen, les trains atteignaient la gare du Chef-Lieu de Canton avant de se diriger vers Mareuil sur Ourq :
Après Betz, les trains désservaient la gare d'Antilly :
La halte de Thury en Valois - Collinance
La halte de Thury en Valois - Boullare sur la ligne Ormoy-Mareuil sur Ourq
Carte postale ancienne de la gare de Mareuil sur Ourcq sur la ligne Paris-La Ferté Milon de la Compagnie de l'Est
à gauche sur la photo, le train pour Crépy-en-Valois assuré par une 222 TA " Révolver" du dépôt de Crépy et à droite un train de la compagnie de l'Est pour Paris via Meaux.:
Autre vue de la gare de Mareuil-sur-Ourcq et le train pour Crépy qui dessirvira les haltes de Boullare et les gares d'Antilly,Betz,Boissy-Lévignen et Ormoy-Villers où il rejoindra la ligne Paris-Laon :
1963 : la fin de la traction vapeur et les débuts de la traction électrique sur Paris-Crépy et Ormoy-Verberie ; 1967 : la traction diésel remplace la traction par locomotives à vapeur sur Crépy-Laon :
Train supplémentaire Paris-Laon au départ de Paris-Nord (Loco 141 R):
Les quais de la gare de Crépy en Valois en 1968 :
(à remarquer la rame de Banlieue avec ses voitures typiques de la région Nord) :
Vue générale de la gare de Crépy en 1963 :
Les section Paris-Aulnay-Ormoy-Verberie fut électrifiée en Septembre 1963 et Ormoy-Crépy en Décembre de la même année , ce qui mit fin à la traction "Vapeur" sur ces lignes
Les locos vapeur ( 230 D, 231 E,pour les Express,242 TA pour la Banlieue et 141 R, 150 P pour les marchandises furent remplacées par des motrices électriques BB 16500 puis des BB 17000, voir des 12000 pour les marchandises ;
BB 16500 à Paris-Nord prête à assurer le train "MV 4221" (la 2 ème 16500 est en acheminement):
BB 16500 démarrant l'Express Laon - Paris n° 260 de Crépy-en-Valois :
BB 16500 avec rame de voitures " Banlieue Nord " :
Ambiance hivernale pour l'arrivée à Crépy-en-Valois d'un train de banlieue composé d'une 16500 et de voitures "Talbot" en 1967 (à noter l'environnement ayant pas subi l'urbanisation ) :
Rame de banlieue typique de la fin des années 1960 s'appretant à arriver en gare de Crépy en Valois :
Image classique des trains de banlieue avant l'arrivée des automotrices Z 6100 :
BB 16500 + voitures " Talbot "
BB 17000 à Crépy en attente de relai pour assurer un Express Laon - Paris :
Train " MV 4221 " prêt au départ à Paris-Nord avec BB 17000 :
BB 17000 avec un Express Paris-Laon composé de voitures " Rapides Nord " arrivant à Crépy en Valois ( train n° 287) :
BB 17000 démarrant un Laon - Paris au départ de Crépy-en-Valois :
Documents relativement rares : BB 16000 en gare de Crépy
Ces locos normalement arribuées à la traction des trains rapides, Express, et trains internationaux sur les lignes Paris/Amiens/Lille et Paris/Saint-Quentin/Maubeuge/Frontière Belge ont assuré en 1968, le Dimanche Soir un A.R. Paris-Nord/Crépy ( train n°286) :
autre document rare : la BB 10002 (prototype ayant servi à la mise au point des bogies des futures CC 40100) en attente d'un service Crépy-Paris :
vue générale des installations ferroviaires de Crépy-en-Valois en 1972 :
La gare de Crépy-en-Valois en 1972 avec un couplage de 66000 en attente de relai pour train Paris - Laon et une automotrice Z 6100 à droite :
BB 66000 arrivant en gare de Crépy avec un Express Laon/Paris (train N° 260)
Pendant les services d'Hiver 1968/69/70/71 les trains Paris-Laon étaient assurés de Paris-Crépy par des 16500 puis 17000 et relayées par des couplages de 66000 avec fourgon chaudière pour assuré le chaufage vapeur des voitures mettaliques "Nord" encore non équipées du chauffage électrique
un de ces couplages venant d'assurer un train Laon-Paris en gare de Crépy-en-Valois
A partir de 1970 la traction des Express Paris/Laon est entièrement assurée par des locos diésel de type BB 66000 supprimant le relai à Crépy-en-Valois .
( noter la rame encore composée de voitures "Express et Rapide Nord )
Ce même train quittant Crépy avec une BB 66000 accompagnée d'un fourgon-chaudière :
Train Express Paris-Laon-Hirson (train n° 287) tracté par une U.M. de 66000 quittant Crépy en 1968
Autre train Paris-Laon quelques 42 ans plus tard au même endroit
Les Horaires de l'hiver 1970 / 1971
Il ne faut pas oublier que parallélement au trafic voyageur, la portion de ligne Crépy-Laon était aussi empreintée par des trains de marchandises (même si ceux-ci étaient moins nombreux que sur Ormoy-Verberie
BB 63000 assurant un train de desserte venant de la sucrerie de Vauciennes près de Crépy en Valois
Images classiques des trains de Fret sur Ormoy-Villers en 1972 à Orrouy-Glaignes avec des BB 16500 :
BB 16500 à Séry-Magneval :
BB 16500 à Glaignes :
Si sur le tronçon Ormoy-Villers / Verberie / Rivecourt le trafic est normalement dédié au marchandises, néanmoins il est parcouru ponctuellement par des trains de voyageurs ( détournement , trains "W", trains de pélerins ) :
BB 16500 avec un train détourné à Séry-Magneval ( train Paris - Cambrai )
Ici une 16500 avec rame de voitures "Rapide" et "Express Nord" dans la tranchée de Glaignes
Dans le même site de la tranchée de Glaignes : Train "R.A." avec BB 17000 :
BB 12000 en tête d'un train composé de wagons couverts à Séry - Magneval :
BB 12000 avec un lourd train de wagons citerne à Orrouy-Gaignes :
BB 12000 à Orrouy-Glaignes :
BB 12000 de passage dans la tranchée de Glaignes
BB 12000 à Séry-Magneval
Si depuis 1949, année de fermeture du service voyageur entre Ormoy et Verberie, la ligne était néanmoins empreintée par des trains de voyageurs ( trains de pélerins, trains détournés suite à un incident entre Rivecourt et Paris) notemment dans les années 1970 où le "Paris-Scandinavie-Express" composé notemment de voitures soviètiques circulait tous les jours
loco Belge "HLE 18" en tête du train international "Scandinavie-Paris-Express" débouchant du tunnel de Séry-Magneval (à noter les 2 voitures lits soviétiques venant de Moscou derrière la loco )
Extrait du fascicule horaire du service d'hiver 1972 indiquant la marche du "Paris-Scandinavie-Expres"(document destiné aux agents de conduite, régulteurs et gardes-barrière entre autre)
BB 17000 : ces locos, déclinaisons des 16500 assurent encore la traction de certains trains de Banlieue (ici en livrée "Béton"):
le même type de loco (BB 17000) était déjà présente en 1968 :
Matériel sans prestige mais présent pendant près d'un demi siècle : les automotices de Banlieue Z 6100 aussi surnommées "Petits gris" par les usagers
Ici une Z 6100 première série à Paris-Nord dans l'état avant travaux pour le R.E.R.:
Z 6100 en gare de Crepy en 2006 :
Omnibus Paris-Laon avec 66000 + "RIO" dans les années 1980 :
Les "E.A.D." dits "Caravelle"
Mis en service en 1964 , ils remplacèrent du matériel ancien comme les autotails "ABJ", "A.D.N." et "Picasso" pour les services Omnibus et Express entre Paris et Laon ; ils assureront ce service pendant plus de 40 ans
ici un "E.A.D." quitte Crépy pour Villers,Soissons et Laon
ici arrivant à Crépy et venant Paris-Nord
E.A.D.assurant un express Laon-Paris en approche de Crépy .
Un autre E.A.D. en gare de Crépy dans les années 1970:
" E.A.D." assurant un omnibus Laon - Paris en gare de Vaumoise :
E.A.D. modernisé se dirigeant vers Villers-Cotterêts, Soissons et Laon à la sortie de Crépy :
"E.A.D." assurant un Omnibus Laon-Paris :
Une photo d'un matériel qui fait déja parti du passé : "E.A.D. rénové" au couleur de la région "Picardie" :
A1A A1A 68500 en gare de Crépy:
CC 72003 prête au départ à Laon pour rejoindre Paris-Nord:
La même 72003 pendant l'arrêt à Crépy-en-Valois:
CC 72000 au départ de Paris-Nord pour acheminer un Express pour Laon
CC 72000 quittant Crépy pour Villers-Cotterêts, Soissons et Laon :
CC 72039 en gare de Crépy en Valois :
La 72006 : seule loco de la série à avoir reçu cette livrée:
La CC 72040 en livrée " Multi Service "
72100 en livrée "En Voyage" prête à assurer un Express Paris- Laon au départ de Paris-Nord :
Photos récentes, mais faisant déjà partie du passé : trains de fret avec U.M. de 66000 .....
Toutes récentes, mais ayant déjà déserté la ligne : les BB 75000
Assurant encore récemment le service voyageur Paris-Laon et remplacés par les "A.G.C.", les X 72500 :
Mai 2014 = Mise en service des rames automotrices de la région Picardie type " Régiolis "
ici en gare de Crépy-en-Valois assurant un train Paris - Laon :
Décembre 2016 : Le service de banlieue Paris-Nord à Crépy-en-Valois est devenue la ligne "K " du Transilien . Ici une desnouvelles rames automotrices Z 50000 dites " NAT " en gare de Crépy-en-Valois :
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